mardi 22 octobre 2013

El albergue de la chica muerta / Desde Catrojeriz hasta Fromista

Ici, 
il y a des cigognes sur les clochers



 et parfois même des coqs gaulois...

Pasta party italienne hier soir, faite main par Vincenso et tutti quanti dans un mini rice cooker.
Je retire ce que j'avais écrit sur l'équipement cuisinier des gîtes municipaux, c'est de pire en pire à chaque étape...
Ce soir, à Fromista, il n'y a même pas de bouilloire pour un thé, et il faut faire sécher le linge dehors.
Sous la pluie donc.
 C'est le troisième jour, celui du découragement,
mais le long du canal de Castille, je ne m'y laisse pas prendre.



 J'avance à travers 20 km de vallons céréaliers, jusqu'à l'écluse qui annonce l'entrée de Fromista.



Un mystère à l'auberge : le lit réservé pour une pèlerine fantôme,
et auquel il est absolument interdit de toucher...
L'hospitalière ne l'est guère,
mon imagination galopante y voit une fille morte dont elle garde le lit...





3 commentaires:

Anne a dit…

Tout ça ??? ça valait vraiment le coup d'attendre !!!

Barbara a dit…

les photos sont plus que superbes

les lieux aussi

Geneviève a dit…

J'étais dans cette auberge aussi... C'est vrai qu'en automne-hiver, ça doit être difficile de ne pas pouvoir chauffer de l'eau pour une soupe ou un thé... je pense à toi.
A part ça, Fromista est un bon souvenir pour moi même si la chaleur était... accablante.