samedi 26 octobre 2013

La coquillette est cuite / Desde Bercianos hasta Mansilla de las Mulas

Malgré le soleil qui tente une percée,
et qui finit par remporter la victoire,



 l'étape d'aujourd'hui me paraît bien longue...

Mais si je m'arrête trop tôt, ce sera encore plus long d'arriver à León demain,
alors je chemine en compagnie de Claudine,
en parlant de nos enfants.
C'est drôle comme sur le chemin, on rencontre des histoires parallèles à la nôtre.
Je me souviens de Franzouski,
trois ans à peine, qui m'accompagnait un jour à mon bureau, avec son déguisement préféré.
Un collègue attendri lui avait demandé :
" - Comment tu t'appelles ?
- Je m'appelle Zorro !
- Oui, mais ton vrai nom ?
- Ah ben, Don Diego de la Vega ..."
C'est à ce moment que j'avais réalisé que ça ne serait pas plus facile pour lui que pour moi.


Finalement on arrive à l'auberge municipale.
Mauvaise surprise : le bus de demain, que je comptais prendre à León, est complet.
Je vais devoir marcher deux jours de plus, jusqu'à Astorga, pour attraper celui de mardi.

8 commentaires:

Barbara a dit…

zut!


j'espère qu'auj le moral et le corps sont un peu requinqués
courage

bisous

Barbara a dit…

rien ne vaut la coquillette de Guidel n'est ce pas Dany!

Anne a dit…

quelques zzzondes d'encouragements, alors, pour cheminer jusqu'à mardi ... ici il fait un vent à ne pas mettre un pèlerin sur un chemin ... j'espère que plus au Sud le temps est plus clément ...

dany a dit…

oh ! oui , Barbara , j'espère que la " coquillette " de Coline lui portera chance et courage !!!!!!
plein de pensées fortes pour toi , Coline !!!!!!!!!! ♥

dany a dit…

oh ! oui , Barbara , j'espère que la " coquillette " de Coline lui portera chance et courage !!!!!!
plein de pensées fortes pour toi , Coline !!!!!!!!!! ♥

Geneviève a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Geneviève a dit…

J'ai quitté le Finistère ce midi pour rentrer chez moi (près de Rennes). La tempête était déjà bien forte et ce sera pire ce soir. J'espère que ça va pour toi et qu'il y a moins de vent qu'ici.

Barbara a dit…

bon courage aussi Geneviève